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Marc La Mola est un ancien flic de Marseille. Il a grandi dans cette ville et a longtemps travaillé dans les quartiers nord. De la Brigade Anti-Criminalité à la Brigade de Sûreté Urbaine où il dirigea un groupe de voie publique il a servi l’état durant plus de vingt ans.
C’est lors de son passage à la brigade criminelle où il était affecté dans un groupe dit de droits commun qu’il va croiser les pires meurtriers sévissant dans cette région, règlements de compte de cité, affaires de cœur et autres crimes de sang seront son quotidien.
Il ne compte plus les cadavres ramassés, les autopsies auxquelles il a assistées et les familles en pleurs qu’il a côtoyées.
C’est dans tout cela qu’il puisse son inspiration.
En 2013 Marc quitte la police. Il se consacre à l’écriture et est l’auteur de trois ouvrages qu’il publie aux éditions Michalon.
Son premier ouvrage, « Le sale boulot, confessions d’un flic à la dérive. » est celui qui l’a fait connaître. Ce livre a été un succès de librairie.
Au cours de sa médiatisation Marc a pu rencontrer le ministre de l’intérieur et ces rencontres lui ont inspiré un deuxième ouvrage, « Un mauvais flic, lettre ouverte à Manuel Valls. » véritable constat sans concession de l’institution policière.
Son troisième livre, « Quand j’étais flic … » relate les années durant lesquelles Marc exerçait à la B.A.C. Il décrit avec minutie un quotidien fait de coups de poing, de coups de feu et même de coups de cœur.
Marc signe aujourd’hui son premier polar, « Le sang des fauves ». Le
personnage de ce premier polar revient dans « Vallis Clausa »,
deuxième volet des enquêtes de son personnage Randy Massolo, un
flic torturé. Il enseigne l’écriture de scénarios à l’école supérieure de cinéma de Martigues (13) et écrit lui-même des scénarios. Plusieurs de ses projets sont actuellement en « option » dans des maisons de production Parisiennes.
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Le sang des fauves (Marc La Mola) |
Vallis Clausa (Marc La Mola) |
Extrême Onction (Laure Garcia et Marc La Mola) |
Je suis flic et ce soir je vais me suicider (Laure Garcia et Marc La Mola) |
Dans une ville de Marseille sublimée Randy Massolo est capitaine de police à la brigade criminelle de la Police Judiciaire.
Solitaire tant dans son travail que dans sa vie personnelle il va avoir la charge d’une enquête le conduisant dans le quartier de son enfance, le parc Longchamp.
Là un meurtrier va abandonner successivement cinq têtes humaines posées auprès d’animaux de carton-pâte hantant les cages de l’ancien jardin zoologique, il va aussi laisser des indices.
Randy erre dans la ville au gré de son enquête, il multiplie les aventures éphémères aves des jeunes femmes pour tenter d’oublier ses propres maux d’enfance, ce qui donne lieu à des scènes érotiques.
Avec l’aide de son jeune assistant et de son unique ami vivant reclus dans la calanque de Sormiou, il va avancer lentement dans ses investigations pour parvenir à comprendre qu’il est lui-même l’épicentre de cette affaire.
Le meurtrier semble vouloir lui imposer une introspection, une véritable pause dans sa vie brouillonne et dépravée.
Il va être contraint de s’interroger sur celui qu’il a été et la mal qu’il a fait à ses multiples conquêtes.
Randy va lentement sombrer avant de se rendre au rendez-vous que l’assassin lui donne, là il va apprendre que ce jeune homme
...
Brisé, il quittera Marseille pour suivre une enquête dans l’arrière-pays provençal (le roman est déjà écrit, son titre est Vallis Clausa).
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Extrait: Premier cadavre découvert par l'enquêteur ...
... Mais la réalité et son quotidien de flic le rappelaient très vite à
l'ordre et brisaient, à la vitesse de l'éclair, ses songes
nostalgiques et bien inutiles.
- Salut, capitaine ! dit Julien.
Il lui tendait une main mollassonne que Randy écrasa sciemment
comme pour lui démontrer qu'il ne supportait plus de serrer un
morceau de guimauve en guise de pogne. Julien gémit
doucement et retira immédiatement sa main pour éviter que
Randy ne la conservât et la malaxât par pur plaisir.
- Bon ... Qu'est ce que l'on a ? Interrogea Randy.
- Là... Julien désigna la cage du lion bleu en tentant de dissimuler
une grimace de crainte indigne pour un flic même jeune.
Randy posa son regard sur le fauve azur et dut se déplacer pour
remarquer les détails de la scène de crime.
A l'intérieur de la cage, deux hommes s'affairaient autour du
fauve. Leurs blouses blanches contrastaient avec le rouge
éclatant de la quantité de sang qui tapissait le sol et la figurine
de ce lion à la gueule entrouverte.
Randy remarqua immédiatement la tête humaine posée sur la
croupe de cette statue bleutée.
Une tête adulte aux cheveux noirs et bien rangés.
Paradoxalement, la tronche ne présentait pas de tâche rougeâtre ,
comme si l'assassin avait pris la peine de la nettoyer avant de la
poser là.
Les yeux du malheureux étaient grands ouverts et laissaient aux
policiers chargés des investigations la possibilité d'admirer leur
couleur bleue étrangement identique à celle de la robe du fauve
la supportant.
Ce détail n'échappa pas à Randy.
Lentement, et sans quitter l'objectif des yeux, il avança vers cette
scène de crime abjecte où les spécialistes de la police
scientifique terminaient leur tâche.
Les hommes en blanc avaient effectué de nombreux
prélèvements organiques qu'ils avaient placés dans des fioles de
plastique aux couvercles rouges. Des cotons imbibés de sang, de
longs cotons-tiges à l'extrémité souil lée et de très nombreux
clichés allaient donc être remis aux enquêteurs.
Randy n'accordait aucune importance à cette nouvelle technique
d'investigation. Il ne parvenait pas à se débarrasser de ses vieilles
habitudes de limier historique de la Police Judici aire de
Marseille.
Les analyses scientifiques ne représentaient pour lui qu'un
support, qu'un complément au talent d'un véritable flic de terrain.
Randy avait solutionné tant d'affaires criminelles sans l'aide de
ces fioritures, il avait tant travaillé avec son unique flair et sans
partenaire.
C'était aussi cela sa marque, son empreinte qu'il laissait après
chaque affaire et qui faisait de lui un policier hors pair.
Mais il se moquait de ce que pensaient les autres flics, les
journalistes et même sa hiérarchie. Il n'était pas flic pour eux,
mais seulement pour...
D'ailleurs savait-il encore pourquoi il l'était ?
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Marc La Mola et son éditeur (David Martin) en séance de dédicace
au salon du livre de Cotignac (83), le 07 août 2016.
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Reportage sur Marc La Mola par FR3 pour son livre "Le sang des fauves" aux éditions Sudarènes. Au 12/13 Provence/Alpes du 19-09-2016.
VOIR
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Interview de Marc La Mola par FRANCE3 pour son livre "Le sang des fauves" aux éditions Sudarènes. Au Provence-Alpes-Côte d'Azur matin du 10-10-2016.
VOIR
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Extraite de l'interview du JT de 13 h ...
Toujours devant le palais Longchamp ! (26/12/2016) |
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Le capitaine Randy Massolo de la Crime quitte Marseille.
L’affaire qu’il vient de résoudre dans la cité phocéenne l’a particulièrement impacté (Le sang des fauves éd. SUDARENES), c’est en Avignon qu’il va se refaire une santé.
Affecté à la section criminelle de la cité des papes, une affaire de découverte de jeunes femmes assassinées lui est confiée. Les filles de trois familles de notables locaux sont sauvagement tuées, sur chaque scène de crime le tueur laisse son ADN.
Chaque corps est retrouvé dans les carrières d’ocre du village de Roussillon. Entre Luberon et mont Ventoux, entre mistral puissant et terre rouge Randy va évoluer au milieu de rumeurs, de vieilles légendes et de rancœurs tenaces.
Vallis Clausa entraîne le lecteur dans de magnifiques villages du nord Vaucluse aux côtés de ce flic torturé incapable de soigner ses propres blessures et de trouver la paix auprès d’une jeune femme.
Aidé d’un vieux policier local et de son fidèle lieutenant Julien et tentant d’échapper à ses propres travers Randy Massolo va suivre cette enquête étrange qui va l’entraîner dans des lieux glauques et auprès de personnages mystérieux.
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Sudarènes Éditions transmettra.
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