Nos auteurs se livrent
SUDARÈNES
Hyères - Var - France
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Charles BOTTARELLI |
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Charles Bottarelli est né en 1941 à Toulon, de parents ouvriers horticoles. La légende veut que le jeune Charles ait appris à lire tout seul... Après le bac, il tente des études de Droit mais la première année n'est pas des plus concluantes et le jeune homme se dit qu'après tout, il pourrait peut-être travailler... L'opportunité d'un concours dans l'Administration, voilà Charles Bottarelli embarqué pour quarante années dans la Fonction Publique, et au gré des concours internes, il arrive à un échelon tout à fait honorable; il va alors suivre la destinée de tout fonctionnaire "zélé", nommé pendant un temps à Lyon, puis Paris, Marseille et retour à... Toulon. Pendant cette période active de sa vie, il se met au service de diverses associations et joue un petit rôle dans l'action syndicale et...politique. Entre 1996 et 2001, il s'investit dans le mensuel toulonnais "Cuverville", journal satirique qui se donne pour objectif de "bouter" l'extrême-droite hors des murs de la mairie. Charles Bottarelli est alors à la retraite, il se laisse embarquer dans un poste de conseiller technique à mi-temps pour une collectivité locale et ayant un peu de temps libre à occuper, il entreprend l'écriture d'un ouvrage, un travail plus important que les chroniques journalistiques qu'il a l'habitude d'écrire. En 2004, ce premier livre est publié aux Éditions de la Nerthe, "Toulon 40, chronique d'une ville sous l'occupation", un ouvrage à caractère historique, dans lequel il s'attache à retracer l'existence du citoyen ordinaire aux prises avec les difficultés de la guerre... Aujourd'hui il écrit son 19 ième livres. |
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L'HONNEUR PERDU DE BENJAMIN ULLMO |
LE FOU DE DIEU |
Benjamin Ullmo est l’héritier d’une riche famille lyonnaise investie dans la soierie. On le croyait destiné à prendre en mains l’entreprise familiale mais il préfère choisir le service de la Marine et va sortir officier de l’Ecole Navale. A Toulon, il fait la connaissance de Marie-Louise Welsch, dite Lison, une chanteuse alsacienne de second ordre, très belle, qui partage avec lui la fréquentation des fumeries d’opium. Outre la passion pour la drogue, le couple aime le luxe et dépense inconsidérément, pendant que l’héritage du père de Benjamin fond à grande vitesse. Fou d’amour, Benjamin craint de voir sa belle s’éloigner de lui et cherche le moyen de maintenir son train de vie. Comme il est commandant en second d’un bateau dont le coffre contient des documents secrets de défense nationale, il conçoit naïvement le plan d’exercer un chantage auprès du ministre de la Marine en menaçant de livrer les documents à l’Allemagne, sauf si on lui verse 150000 francs.(Nous sommes à peine sortis du conflit de 1870, et chacun se méfie de supposés espions d’outre-Rhin. En tant qu’Alsacienne, Lison est soupçonnée par certains d’être une espionne allemande potentielle.) Ullmo se trouve embarqué dans une affaire qui le dépasse ; il est arrêté au moment de procéder à l’opération d’échange avec un représentant du ministère. Il est jugé, dégradé en place publique en février 1908 et déporté en Guyane. Ce qui est fascinant dans cette histoire, c’est de voir comment un homme normal peut être emporté par la passion amoureuse au point de commettre un acte totalement insensé dont il ne mesure pas les conséquences. C’est aussi le contexte historique, son procès intervenant peu après la grâce de Dreyfus conduit au sursaut des anti-dreyfusards qui espèrent prendre leur revanche. |
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 Titre : L'HONNEUR PERDU DE BENJAMIN ULLMO Auteur / : Charles BOTTARELLI Éditeur : Sudarènes Type : Témoignage Date de parution : 12/09/2023 Langue : Française Reliure : Fermé à la française Format : 14,8x21 cm. (A5) Nombre de page : 120 pages noir et blanc recto/verso Couverture : Souple en Quadri ISBN : 978-2-37464-480-6 Prix : 16 € |
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Le 24 avril 1861, un curé en soutane, armé de deux pistolets, fait feu à tout va dans un bordel de Toulon. Comment en est-on arrivé là ? L’abbé Gaubert est un jeune et beau curé du village ariégeois d’Orgibet qui ne laisse pas indifférentes les paroissiennes, surtout si elles sont jeunes et belles comme Marie Saint-Cernin, chez la mère de qui il s’arrête souvent en appréciant sa conversation et ses gâteaux. Mais Marie, elle, ne se laisse pas apprivoiser. En rupture avec sa mère, elle s’exile à Toulon, recueillie par une amie d’enfance qui gère une maison close. Désespéré, Gaubert vient la chercher en espérant ramener Marie au village. Après un premier refus, il revient un mois plus tard, et, excédé par un deuxième refus, il est pris d’une crise de folie. Il multiplie les coups de feu à l’intérieur de la maison close. Il sera condamné à vingt ans de travaux forcés. Athée convaincu, l’auteur s’invite par effraction dans le débat sur le célibat des prêtres, et bouscule le dogme de la chasteté. Pourquoi ce titre ? À l’heure où, un peu partout, des « fous d’Allah » sèment l’inquiétude, ce parallèle veut signifier que l’aveuglement religieux, quelle que soit la religion, peut faire perdre aux individus le sens de la mesure et des réalités. |
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Titre : LE FOU DE DIEU Auteur / : Charles BOTTARELLI Éditeur : Sudarènes Type : Témoignage Date de parution : 04/12/2024 Langue : Française Reliure : Fermé à la française Format : 14,8x21 cm. (A5) Nombre de page : 108 pages noir et blanc recto/verso Couverture : Souple en Quadri ISBN : 978-2-38572-171-8 Prix : 18 € |
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Sudarènes Éditions transmettra. |
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